Jura Parc est un parc animalier d'un autre genre situé à mi-chemin entre Vallorbe et la vallée de Joux dans le canton de Vaud à 1h15 de Genève.
Voici 6 bonnes raisons de se rendre à Jura Parc qui pourtant ne paye pas de mine et ce même sous la pluie:
1/ La taille du parc: les 9 hectares permettent au petit nombre d'animaux de vivre dans de mini conditions réelles au niveau géographique: prairies, arbres, terrains plus escarpés.
2/ La visite du parc se fait sur une passerelle longue de 400 m depuis laquelle on surplombe les animaux d'où la possibilité de les voir autrement qu'à travers un grillage et de pouvoir les observer sans les perturber.
3/ Parce que cette géographie des lieux donne lieu à des scènes que l'on ne voit pas dans un zoo traditionnel: ici moment de complicité entre 2 oursons qui grimpent aux arbres.
Voici 6 bonnes raisons de se rendre à Jura Parc qui pourtant ne paye pas de mine et ce même sous la pluie:
1/ La taille du parc: les 9 hectares permettent au petit nombre d'animaux de vivre dans de mini conditions réelles au niveau géographique: prairies, arbres, terrains plus escarpés.
2/ La visite du parc se fait sur une passerelle longue de 400 m depuis laquelle on surplombe les animaux d'où la possibilité de les voir autrement qu'à travers un grillage et de pouvoir les observer sans les perturber.
3/ Parce que cette géographie des lieux donne lieu à des scènes que l'on ne voit pas dans un zoo traditionnel: ici moment de complicité entre 2 oursons qui grimpent aux arbres.
4/ Parce que l'on assiste à une cohabitation absolument unique entre un ours et une meute de loups dans le même enclos. Après provocation le face à face psychique est de rigueur mais l'ours à toujours gain de cause.
5/ Parce que l'on voit enfin en vrai le mythique "cheval de Przewalski" jusqu'ici seulement croisé dans mes lectures sur l'Asie centrale.
Le cheval de Przewalski (du nom du colonel russe qui l'a découvert) est un équidé sauvage des steppes mongoles, une sous-espèce de cheval, que l'homme n'a jamais réussi ni à dresser, ni à monter. Les derniers chevaux de Przewalski ont été répertoriés en Mongolie en 1969, depuis extinction de la race. Quelques uns ont pu être mis de côté pour reproduction en vue d'une future réintroduction, malheureusement trop peu, ils sont donc tous consanguins, j'ai même envie de dire du coup complètement mongoles... Néanmoins respect à ses petits chevaux à l'allure de poney au naturel si indiscipliné que l'homme n'est jamais parvenu à les domestiquer !
6/ Qu'on y voit aussi des bisons, mais surtout...
... qu'on peut goûter ça !